Dans une allocution très courte le Premier ministre a expliqué les raisons de sa démission. «Les conditions n’étaient plus remplies pour que je puisse exercer mes fonctions et permettre au gouvernement d’aller devant l’Assemblée nationale demain. Pour trois raisons. La première, c’est que ces formations politiques ont fait mine parfois de ne pas voir le changement, la rupture profonde, de ne pas se servir de l’article 49.3. Il n’y avait plus de prétexte pour que les parlementaires refusent de faire leur métier», a regretté le premier ministre démissionnaire.
Il s’en est pris aux partis politiques, sans les nommer qui ont des « Appétits partisans en lien avec l’élection présidentielle. »