Nicolas Sarkozy est le deuxième président de la République française à être dépossédé de cette distinction, après le maréchal Pétain en 1945.
Il a été condamné, en première instance et en appel, à la peine de trois ans de prison dont un ferme dans l’affaire des écoutes téléphoniques.
Dans de telles situations, le retrait est « de droit », a souligné en mars le Grand chancelier de la Légion d’honneur, le général François Lecointre, qui a apposé sa signature sur l’arrêté.
L’intervention de Macron ou la non intervention n’a pas joué dans la décision finale.