Les Jeux olympiques terminés la politique va reprendre ses droits. Pendant cette trêve, le président essaye de finasser pour nommer un Premier ministre qui ne soit pas Lucie Castets issue des rangs du NFP.
Il joue la montre, mais n’a pas le choix. Comme le veut la tradition de la 5e République, il doit obligatoirement nommer le Premier ministre parmi NFP sorti vainqueur et majoritaire à l’Assemblée nationale. Le résultat des élections est très clair. Le parti présidentiel a perdu successivement les élections européennes et législatives. Le président de la République ne peut pas faire autrement que d’en tenir compte et d’appeler Lucie Castets à former un gouvernement.
Si le président passe outre et nomme un Premier ministre issu de tambouille politicienne, il s’expose à un immense désordre dans le pays, et en portera la responsabilité.
Les Français se sont fait voler le référendum de 2005, ils ne se laisseront pas voler une élection une deuxième fois.
Arthur Delaporte (député PS/NFP) du Calvados confirme sur BFM que « le chef de l’État n’a pas d’autres choix que de nous appeler à Matignon »
Lucie Castets appliquera le programme pour lequel les Français ont majoritairement voté. Un programme de rupture, sérieux. Qui peut être contre l’augmentation du SMIC, l’abrogation de la réforme des retraites ?
« Le vote a été une humiliation écrasante pour Emmanuel Macron. Son mouvement a subi une sévère défaite.» C’est l’analyse faite par l’hebdomadaire The Economist. La presse internationale salue la victoire du NFP.
Macron en plein déni de démocratie a dit : « j’ai dégoupillé une grenade dans leurs jambes »… Il a provoqué délibérément une crise de régime, il va devoir en assumer les responsabilités ou se démettre.
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Les forces du capital sont prêtes à tout pour garder la main. Si les salariés ne se font pas entendre massivement dans la rue pour gagner sur leurs revendications, nous pouvons craindre le pire pour la liberté dans ce pays.