La ministre de la Culture est suspectée d’avoir reçu 900 000 € entre 2010 et 2012 pour des prestations de conseil actées dans une convention d’honoraires, mais sans avoir réellement travaillé entre 2010 et 2012.
Son contrat, signé par le PDG du constructeur automobile, aurait été utilisé, selon le parquet financier, pour dissimuler une activité de lobbying au sein du Parlement européen.
La ministre de la Culture est également renvoyée devant la justice pour « recel d’abus de pouvoir » et « abus de confiance ». Carlos Ghosn est quant à lui renvoyé pour « abus de pouvoirs par dirigeant de société », « abus de confiance » et « corruption et trafic d’influence actifs ».
Les dates de l’audience ne seront fixées que le 29 septembre prochain.