Le 18 octobre 2019, deux événements, à première vue indépendants l’un de l’autre, se sont produits sensiblement à la même heure, à plus de 15 000 km de distance.

Wuhan

Le premier s'est déroulé à Wuhan, ville chinoise dont le nom est devenu familier depuis et consistait en l'inauguration des jeux mondiaux militaires. Environ 9200 athlètes, provenant de plus d'une centaine de pays différents étaient inscrits dans les différentes compétitions.

Ces joutes se sont tenues durant 9 jours, jusqu'au 27 octobre.

D'après certains témoignages, plusieurs des participants sont tombés malades. 

L'escrimeur italien Matteo Tagliariol témoigne :

«Quand nous sommes arrivés à Wuhan, presque tout le monde est tombé malade. J'ai eu une forte toux.» «Beaucoup ont eu de la fièvre, même si leur température n’était pas très élevée», a-t-il ajouté, précisant qu’un de ses coéquipiers a dû être alité durant presque tout le séjour. 

Puis il poursuit en disant :

« Une semaine après son retour à la maison, (Matteo Tagliariol) est tombé gravement malade. «J’ai un asthme léger, mais c’était différent. Je sentais que je n’arrivais plus à respirer», détaille le sportif dont les symptômes n’ont pas disparu après une cure d’antibiotiques. Sa compagne et son fils de deux ans sont aussi tombés malades. «Quand on a commencé à parler du coronavirus, sans avoir aucune compétence médicale, je me suis dit que je l’avais attrapé. J'ai 37 ans, je suis sportif et j'ai été vraiment mal.»

Rappelons que nous sommes en octobre 2019.

Un peu plus tard, Elodie Clouzel tient, lors d'un entretien avec la chaîne de TV locale Loire 7, les propos suivants :

 «Avec Valentin (ndlr: Belaud, son compagnon lui aussi pentathlète), on a déjà eu le coronavirus. On était à Wuhan pour les Jeux mondiaux militaires et après, on est tous tombés malades. Valentin a loupé trois jours d'entraînement. Moi j'ai aussi eu des trucs que je n'avais pas eus avant. On ne s'est pas plus inquiété que ça parce qu'on n'en parlait pas encore.» 

Il apparaît difficile de croire que ce soient les seuls cas parmi les 9300 athlètes présents à Wuhan au même moment.


The Pierre

En même temps, toujours le 18 octobre 2019, mais à New-York, se déroulait un exercice qui, dans ce contexte particulier, peut surprendre. Soigneusement choisis parmi tout ce qui compte dans la finance et le « big pharma » une vingtaine de personnes ont reçu une invitation pour se rendre à l'hotel Pierre, un établissement de luxe situé à Manhattan. Le thème était l'étude de la propagation d'une épidémie d'un virus de la famille des coronavirus. Cette épidémie trouvait son origine dans un élevage de porcs brésilien et évoluait rapidement en pandémie.

Voici la description du site « Enkelekheia »

« L’exercice était construit autour d’un virus fictif dénommé CAPS, un coronavirus naturel (semblable au SRAS ou au MERS) qui provient des chauves-souris, mais dans la simulation, il apparaît chez les porcs.

L’événement a été organisé par le Johns Hopkins Center for Health Security, en partenariat avec le Forum économique mondial et la Fondation Bill & Melinda Gates.L’Event 201 s’est déroulé sur invitation uniquement, avec la participation de médias tels que Bloomberg. [1] Les enregistrements vidéo et audio n’étaient pas autorisés, mais après l’événement, une sélection de vidéos et d’audio de haute qualité a été mise à la disposition de la presse présente »

Certes, d'autres exercices de ce type avaient déjà eu lieu. Mais ce qui est troublant, c'est justement le moment choisi pour le faire. Il exige une préparation longue et minutieuse, ainsi que le décrit l'un de ses protagonistes :

« La création de modèles tels que l’Event 201 nécessite plus d’un an de planification et un investissement de centaines de milliers de dollars », [Ryan Morhard, chef de projet pour la sécurité sanitaire mondiale, Forum économique mondial], mais les leçons tirées sont inestimables ». [Source


Franklin D Roosevelt avait coutume de dire : «  En politique, rien n'arrive par hasard ! »

Même s'il apparaît difficile de trouver la preuve irréfutable qui lierait ces deux événements, leur  parfaite synchronisation peut éveiller une certaine suspicion. D'autant plus que les sommes mises en jeu apparaissent colossales. De plus, une des hypothèses retenues était qu'il n'existait aucun vaccin pour enrayer cette épidémie. Comment ne pas y voir une sorte de manifestation du Destin ?

Aujourd'hui, avec le recul et compte-tenu du déroulement des opérations, il apparaît comme probable que les premiers cas de COVID 19 soient apparus bien avant la date « officielle » donnée par le gouvernement chinois (31 décembre 2019) et se soient déclarés en Europe beaucoup plus tôt également.

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